Heureux qui comme Ulysse a fait un beau voyage... (Georges Brassens)

mardi 25 septembre 2012

Bonjour le Pérou!

Attention, ça change ! Il y a tellement, qu’on ne sait pas par quoi commencer…

Le plus bizarre peut-être ? Les toilettes… ne jeter jamais votre PQ dans les toilettes, les canalisations ne le supporteraient pas ! Donc à la poubelle qui se trouve à côté de vous. Au début, c’est dur de changer un réflexe si ancré en nous… Ensuite, quand vous êtes dans un car qui relie Lima à Nazca, ou Arequipa à Cusco, il est bien précisé que les toilettes ne peuvent être utilisées que pour uriner. Quand on a les intestins retournés par les nouveautés culinaires, autant dire que c’est plutôt inquiétant de devoir passer 10h dans un bus qui ne s’arrête pas pour des pauses WC… 

Les douches… pour l’instant on a de la chance, on a toujours eu de l’eau chaude. Par contre plus il y a de pression, plus c’est froid. Vous constaterez par vous-mêmes en regardant les photos qu’on met en lien ci-dessous, que le système n’est pas forcément très rassurant… eau et électricité, ça ne fait pas bon ménage, non ?

C’est le moment de vous raconter le pire carrousel de notre vie : un espèce de vieux coucou, un CESNA 205, qu’on a eu la bonne idée de prendre pour survoler un site archéologique certes grandiose et fort intriguant, mais qui en plus de nous coûter cher, nous aura rendus blancs comme des merdes de laitier… Au début on était tout feu tout flamme ! Allez, on prend l’option 35minutes de vol (et non 60 minutes car c’est trop cher) mais dans un avion pour 4 personnes, car pour 12, on risque d’être mal placés et de ne rien voir du vol. Il faut dire que les lignes de Nazca sont des traces de différents peuples précolombiens dessinées dans le sol. On ne sait pas exactement pourquoi ils ont fait ça, ni comment c’est possible que ça soit resté si longtemps intact. Plusieurs hypothèses existent : les aliens, un calendrier astronomique, des signes en faveur des dieux, etc… Ces figures sont si grandes, qu’il faut les voir d’en-haut pour mieux les apprécier. Et c’est parti ! A peine on décolle que Christelle doit s’accrocher au siège devant elle pour ne pas être trop mal. Mon dieu ça tourne, ça secoue dans tous les sens, et le pilote tourne bien dans un sens au-dessus de chaque figure gravée dans le sol, puis dans l’autre sens ! Quelle horreur… jamais elle ne s’est sentie aussi mal… pas par peur, non, juste mal de l’air. Pour dire, elle ne pouvait presque plus bouger ses mains ni sortir de l’avion à la fin du « badtrip »… En ce qui concerne Valentin, tout se passe bien : il prend des photos, se retourne, observe le site, est tout content. Jusqu’au moment où soudainement son estomac fait un sacré looping… ne jamais manger de glace et de tranche de cake juste avant un vol en CESNA 205… Ronald, le tenancier de notre auberge qui nous a amenés jusqu’à l’aéroport et nous a attendus patiemment, nous récupère le sourire aux lèvres… On doit être une sacrée attraction pour les habitants de Nazca…

Heureusement, on a pu retourner à l’auberge l’après-midi pour faire une sieste sur des chaises longues et prendre une douche avant de prendre le bus pour Arequipa. Une nuit de car plus tard, nous voici arrivés dans cette belle cité. Il faut avoir en tête les avertissements du Routard concernant les risques d’enlèvement en taxi. Donc nous faisons confiance à la compagnie agréée du terminal de bus et en route pour l’auberge… Arrivés sur place, une chambre donnant sur la route nous attend. Autant dire que les klaxons et quelques discussions animées ont rythmé notre nuit. Mais à part ça nous avons découvert avec plaisir le marché coloré d’Arequipa, une des plus belles Plaza de Armas du Pérou et un cloître magnifique construit en pierres volcaniques. Ces dernières proviennent des trois volcans entourant la ville et qui culminent aux alentours des 6000m. Etant donné que la ville est à environ 2500m, leurs sommets enneigés surgissent à chaque rue ! Vraiment superbe !

En ce moment, nous sommes à Cusco, capitale historique du Pérou. Après 10h de bus de nuit, nous sommes arrivés à 06h15 du matin dans la ville et Victor nous accueille au terminal de bus à bras ouverts pour nous emmener dans notre maison d’une semaine. La famille est adorable, on se sent presque chez nous. L’école d’espagnol a l’air bien, notre prof personnelle (on est que les deux pour l’instant !) est très sympa et très pédagogue. On apprend vite et c’est tant mieux, on arrive un peu mieux à parler aux Péruviens.

Prochaines aventures prévues : le Salkantay trek, une marche de 5 jours à travers montagnes (plus de 4000m parfois !) et jungle, pour terminer au fameux et célèbre Machu Picchu. Nuits sous tente, porteurs et mules. On se réjouit ! En attendant, la vallée sacrée des Incas s’offre à nous et nous allons la parcourir avec plaisir !

lundi 17 septembre 2012

Derniers jours au Canada



Depuis l’aéroport de Calgary en attendant notre avion pour Lima, nous profitons d’écrire les dernières aventures que nous avons vécues au Canada. Car une fois de plus, les activités n’ont pas manqué ! 

Tout d’abord, nous avons participé à trois entraînements de karaté avec Lynne, Sébastien et André. Comme ils sont tous les trois ceinture noire et que c’était nos moniteurs, autant dire que nous étions plutôt bien entourés ! Condition physique pendant une heure (ça dérouille), puis techniques et katas divers, nous avons appris beaucoup et constatons que le karaté est un sport qui s’apprend à l’infini. Mémoire, force mentale et condition physique sont indispensables. Merci encore à toute l’équipe de nous avoir accueillis si chaleureusement et de nous avoir donné tant de chose sans rien attendre en retour !

Autre activité décoiffante (puisqu’on avait un beau chapeau de cowboy) : deux heures de balade à cheval dans les Kananaskis avec Lynne et Nicole. Après s’être équipés en western avec les chemises, jeans et bottes de la famille, nous grimpons sur nos belles montures. Yah !! C’est parti ! Valentin dirait plutôt : « Tu n’avances pas du tout Cannabis…». Nous rigolons encore lorsque notre cher petit Mexicain n’arrive pas à faire galoper son cheval et qu’il est secoué dans tous les sens à cause du trot rapide qu’il n’arrive pas à quitter ! Vraiment trop drôle ! 

Heureusement, le soir nous nous rendons à l’ovale (patinoire de vitesse) et Valentin se retrouve dans son élément. Et cela malgré les patins de location mal aiguisés ! C’est le seul bémol à ce centre sportif impressionnant. Il se trouve dans l’université de Calgary et comporte une piscine olympique qu’on peut séparer en deux bassins de 25m., une triple salle de sport avec anneau d’athlétisme au-dessus (oui,oui, il y a un anneau de course à l’intérieur du bâtiment, au-dessus des salles !) et salles de fitness tout autour. Juste à côté se trouve l’ovale, à l’intérieur duquel il n’y a « que » deux patinoires normales…  Ah j’oubliais ! il y a aussi un anneau de course autours de l’ovale… comme à part la glace, toute la salle est chauffée, c’est plutôt agréable de s’entraîner. Et ça, ce n’est qu’une partie des installations sportives, car nous n’avons pas vu le reste, mais imaginons bien qu’il doit y avoir quelques terrains de football, de tennis et de baseball…  Bref, le paradis des sportifs !

Un peu moins mouvementé cette fois, les quelques superbes musées que nous avons visités. Celui de Glenbow, qui se trouve au milieu des gratte-ciels de Calgary, et qui raconte l’histoire des Indiens Blackfoot. Exposition émouvante et très bien faite, qui explique leur style de vie, leurs croyances, puis l’arrivée des colons et ce qui s’en est suivi jusqu’à aujourd’hui.

Le musée Blackfoot Crossing Historical Park qui parle également des Indiens, se trouve carrément dans la réserve des Siksika. C’est assez bizarre de traverser une réserve en voiture, car nous n’avons que le droit de la traverser en restant sur la route. Il y a très peu d’habitations, ça paraît pauvre et en général ça l’est. Les Indiens sont subventionnés par l’Etat, sauf s’ils quittent la réserve. L’argent ne parvient toutefois pas toujours aux bonnes personnes dans la réserve, l’éducation est peu mise en avant et les jeunes sont souvent livrés à eux-mêmes.  S’ils veulent chercher du travail ailleurs, ils sont malheureusement la plupart du temps discriminés du fait de leur origine. Certains sont tout de même fermiers et ont une activité rentable, mais c’est une minorité d’après ce que nous avons pu comprendre. Intéressant et en même temps bizarre de voir les Canadiens occidentalisés vivre autours de réserves d’Indiens qui tentent de se relever du traumatisme apporté par les colons il y a plus d’un siècle, et ce sans que plus de changements ne soient apportés à cette façon de faire.

Plus joyeux mais tout autant émouvant, le Sport Hall of Fame, le musée olympique qui met en avant tous les athlètes Canadiens ayant réussi (ou pas) aux Jeux Olympiques. Pour rappel, Calgary a reçu les Jeux d’hiver de 1988. Une exposition très bien faite, remplie de petits films sur tous les sports. Un très bon moment !

Voilà, nous allons procéder au boarding dans quelques minutes, notre avion part dans 30min pour Lima et nous nous réjouissons comme des petits fous de découvrir cette nouvelle culture ! Les prochaines aventures dans quelques temps sur notre blog.

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mardi 11 septembre 2012

Une semaine avec les cousins



Entre deux jacuzzis, nous profitons à fond de Lynne et Sébastien, les deux cousins de Christelle. Au programme, une semaine ensemble avec pour commencer, une nuit de camping. Nous sommes dans les Hoodoos à Dinosaur Provincial Park. Eh oui, vous avez deviné, nous sommes dans un coin plein à craquer de vestiges de dinosaures ! Du fait de l’érosion, tout ressort à la surface ! Nous nous contenterons de nous promener dans les Hoodoos, de jouer à la pétanque, de s’amuser par-dessus un ruisseau et de discuter autours du feu de camp. Des moments inoubliables.
Le lendemain, nous visitons un musée consacre entièrement aux dinosaures, à Drumheller. Des fossiles inimaginables sont exposés… imaginez : un tiranosaurus rex entier a été retrouvé et conservé… de la folie ! Pour les autres, ce ne sont que rarement des pièces entières et originales, mais ça nous donne tout de même un aperçu de ce qui existait il y a plus de 65 millions d années.

Attention, désormais on s’éclate ! C’est parti pour 5h de rafting sur Kicking Horse River ! Doit-on préciser que l’eau provient des glaciers ? Et que nous sommes en septembre ? Et qu’à notre arrivée à la base il fait 7 degrés ?
Heureusement tout est prévu : combinaisons courte-manche, chaussons en néoprène, imperméables pas imperméables, casques et pulls polaires. Et c’est parti ! Rapides après rapides, on vit pleinement les montées d’adrénaline, les éclaboussures d’eau gelée et les rires. Surtout lorsque Sébastien prend les commandes du bateau à la place du guide et qu’on le retrouve couché au fond du bateau ! Ou lorsque sous un pont, il croche se pagaie pour s y suspendre et attendre que le bateau qui nous suit le récupère… Plouf ! Et il ne reste « que » 4h30 de descente ! Sacré Seb’, on rigole bien avec toi !
Ah j’oubliais… faire les derniers rapides dans l’eau tous ensemble c’est super drôle ! Et plutôt rafraichissant par ces « chaleurs »…
Heureusement, le sauna de l’auberge de jeunesse nous a bien réchauffés, tout comme la bonne bouteille de rouge…

Le lendemain, activité plus tranquille, mais tout aussi époustouflante : randonnée à Lake Louise. Les photos parlent d’elles-mêmes… on s’en est pris plein les yeux, régalez-vous.

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dimanche 9 septembre 2012

Cinq jours dans les Rocheuses part.II

Voici la deuxième partie des photos de nos 5 jours passés dans les Rocheuses. Vous pourrez apercevoir l'ours entre deux troncs d'arbre, de très beaux paysages et une femelle orignal.
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lundi 3 septembre 2012

Cinq jours dans les Rocheuses

Après un troisième jour passé à Calgary avec Lynne, où nous avons assisté, pendant la journée, à un festival de musique et de danse latines, avec au programme flamenco, salsa et surtout des fajitas (miam), nous avons retrouvé André et Nicole à la maison. Quel plaisir de les revoir. A peine rentrés, nous avons dû nous préparer en vitesse, habits chauds et couvertures, pour partir aller assister à une compétition internationale de feux d’artifice. Quel spectacle ! Un show impressionnant en rythme avec de la musique, à côté duquel les feux du 1er août paraissent minuscules.

Le lendemain matin, nous avons préparé notre périple de 5 jours dans les Rocheuses et vers midi, nous avons pris les commandes d’une Chevrolet en direction des montagnes. Notre première impression sur la route des Rocheuses est que tout est énorme, les distances tout d’abord, Banff qui est « juste à côté » est à 130km, les pickups sont monstrueux, des triple semi-remorques sont sur les routes. Au niveau paysages, des plaines à perte de vues laissent gentiment la place à des anciennes vallées glacières larges de quelques kilomètres, sillonnées par des rivières formant de larges méandres. Les pentes sont complétement recouvertes de conifères jusqu’à une certaine altitude et la roche prend le relais pour former des montagnes qui portent bien leur nom. Après 220 km de route et un petit détour par l’office du parc national de Banff pour avoir les informations à jour sur l’activité des ours sur les chemins pédestres, nous voilà arrivés à l’auberge de jeunesse de Mosquito Creek. Comme accueil, un excrément d’ours à côté du chemin menant du parking à l’auberge, il va falloir être prudent. Une fois que nous avons pris nos quartiers dans l’auberge, on file en direction de Peyto Lake. Nous effectuons une petite marche d’une heure pour accéder à un point de vue sur le lac. Un panorama digne de « Yakari » ou de « Buddy Longway » s’offre à nous. Quelles couleurs entre le bleu turquoise du lac, le vert des mélèzes et le gris des Rocheuse.

Après une bonne nuit à l’auberge de Mosquito creek, nous revoilà sur la route en direction du glacier Columbia. 100km de route en suivant cette vallée glacière, où les paysages sont déjà magnifiques depuis la route. Arrivés au pied du glacier, nous décidons de faire une randonnée sur les pentes faisant face au glacier et là, nous voyons une chose qui nous dépasse. Une route monte SUR le glacier et des cars y sont parqués, quel dommage. Bref, nous débutons notre marche en direction du Col Wilcox. Une fois sortis de la forêt nous découvrons une vallée alpine qui nous donne une vue imprenable sur les glaciers. Après un pique-nique au col Wilcox nous entamons le chemin du retour. Des randonneurs nous signalent qu’il y a un troupeau de mouflons d’Amérique du nord derrière nous, qui arrivent depuis le sommet. Un très beau spectacle. Il s’agit des premiers animaux que nous pouvons observer au Canada, après les écureuils et les spermophiles (petit écureuil terrestre dont on se demande d’où il tient son nom…). La randonnée terminée, nous reprenons la route jusqu’à Jasper, 100 km plus loin. Une fois installés, nous allons souper au resto avec au menu steak de bison et tournedos de wapiti, un délice ! Nous passons 2 jours sur place. Le premier nous commençons par une randonnée à cheval dans une forêt de trembles. Nous passons à côté de lacs et d’étangs formés par les castors où l’on peut apercevoir leurs maisons. Nous passons aussi par 2-3 jolis points de vues sur les montagnes entourant Jasper et, notamment, Pyramid Mountain. Il s’agit d’une montagne fait d’une roche rouge en forme de pyramide. L’après-midi, nous prenons le téléphérique pour monter au mont Whistler. Après une demi-heure de marche nous voilà au sommet. Des montagnes nous entourent à 360 degrés, il commence à neiger, un vent glacial nous gèle et un arc-en-ciel surplombe la ville de Jasper. C’est un spectacle un peu fou. Le soir, souper au resto, avec cette fois, Linguine au saumon et saumon grillé au sirop d’érable. La nourriture canadienne est vraiment bonne, dommage que les expressos soient de 1.5 dl et transparents !

Le deuxième jour à Jasper, Nous prenons la direction de Maligne Lake, avec sur la route une petite marche dans le Canyon formé par les glaciers. De très beaux paysages. Une fois arrivés au lac, nous troquons pour une heure notre voiture contre un moyen de transport typiquement canadien, un canoë. Quelle expérience incroyable et quel panorama depuis les eaux bleu roi du lac, vraiment magique. Nous passons la nuit à l’auberge de jeunesse de Rampart Creek. Un sauna artisanal est disponible dans une cabane en bois pleine de courants d’air, avec un vieux poêle à bois qui chauffe les pierres. Une fois que nous avons assez chaud, nous allons prendre un petit bain dans la rivière Rampart provenant d’un glacier, ça rafraîchit…

Le lendemain, nous reprenons la route en scrutant les bas-côtés pour apercevoir un animal, mais rien. Nous sommes un peu déçus car nous entendions, dans les auberges, des gens qui racontaient qu’ils avaient vu un ours, un grizzli ou un orignal depuis la voiture et nous, rien. Nous avons très envie de voir un animal sauvage, soit depuis la voiture soit au loin (surtout pas sur notre chemin pédestre !), mais rien n’est arrivé comme on le souhaitait. En effet, après quelques kilomètres de route nous nous arrêtons pour faire la randonnée prévue : 4 heures de marche aller-retour jusqu’au lac Helen. Après une heure de marche dans la forêt, nous arrivons à un endroit où un incendie a complétement brûlé la forêt. Et là, à 20 ou 30 mètres de nous et malgré tout le bruit que nous faisons pour éviter les mauvaises rencontres… un ours noir de bonne taille est en train de manger des baies ! Il nous a regardés, on l’a regardé, il nous a regardés, on l’a regardé, il a avancé, on a reculé, il s’est éloigné un peu et on a continué notre route dans l’autre direction. Bref, on a vu un ours noir ! Bon, il faut dire qu’il y a 10 autres personnes avec nous et qu’il est trop occupé à manger des baies et trop peureux pour nous embêter. Mais quelle frousse ! En tout cas pour Christelle, qui a failli repartir en courant jusqu’au parking ! Heureusement, les gens nous ont convaincu de continuer près d’eux, et ça en a valu la peine : on sort enfin de la forêt et les paysages nous coupent le souffle ! Le reste de la randonnée s’est très bien passé et nous avons donné encore plus de voix au retour pour ne plus croiser l’ours.
Hier, nous sommes repartis en randonnée avec le Lab’ d’André, dans les Kananaskis. Des Albertains d’ici et d’ailleurs nous accompagnaient et on a sûrement vu le premier Ethiopien au somment d’une montagne des Rocheuses. Vraiment une journée super sympa et avec des paysages fabuleux. Sur la route du retour, une femelle orignal mange dans un étang non loin de la route, un très beau spectacle par une lumière de fin d’après-midi.

Pour conclure cette semaine, on ne pouvait pas rêver mieux : nous avons vu des paysages magnifiques, un ours noir et un orignal. Objectif atteint !
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